Kusari Heisei (Accepté)

Nom : Heisei

Prenom : Kusari

Age : euh... oublié de compté ><

Yeux : Brun ambre

Cheveux : Blanc pointant sur le gris

Description du zanpakuto : Fais face, Otoraiu! À cette phrase, les cieux se déchaînent et les mers se soulèvent. Enfin, c'est se que racontent les shinigamis qui trainent un peu partout dans le Sereitei. Otoraiu est un zanpakuto de type foudre et physique. Légèrement colèrique, la lame provoque des tempêtes et des orages. Bon, je n'ai jamais été un bon descripteur d'objet alors une image vaut mille mots!

Forme scellé :

Spoiler:

Forme Shikai :

Spoiler:

Catégorie : Shinigami - Capitaine de la 9 division si possible.

Description physique : Kusari n'est ni trop grand, ni trop petit, ni squelettique, ni trop enveloppé, il est le juste milieu. Ses cheveux gris pale, sont ébouriffés et rien ne les retient. Il vole au vent jusque dans sa nuque. Ses yeux noirs d'ambre sont se adaptés à la noirceur dû aux missions souvent faites dans la nuit. Son regard arbore toujours ce ton grave, mystérieux, et sévère mais peut se révéler doux et aimant, voir ironique quand il est prit de compassion pour quelqu'un. Sa voix est à la fois grave et douce tout en étant autoritaire, il est rare de le voir adopter un autre style de parole que celui-ci. Sa démarche est droite et fière sans se montrer vaniteuse. En outre, il porte l.habit des Shinigamis ainsi que la veste blanche avec l'intérieur rouge du capitaine de la cinquième division. Enfin, il porte toujours son Zanpakuto avec une lame grise et un fourreau noir : "Otoraiu", "Son d'Orage" qui lui sauva la vie à de nombreuses reprises durant sa carrière. Ancien membre de la 5e division, il a juste ce chiffre tatoué sur sa nuque.

Description mentale : Il n'est pas du genre à juger les gens sur leur apparence physique, mais sur leur qualité morale. En effet, quand il s'agit de juger quelqu'un, il le fait avec ses oreilles, et non avec ses yeux, comme il le prétend souvent. Il n'est pas non plus du genre à abandonner facilement, même quand il sait qu'il n'est pas en bonne posture, il porte peu attention à sa vie, mais sa plus grande faiblesse est de se soucier de celle des autres. Son humeur est imprévisible : il voit souvent des choses que les autres de peuvent pas voir, il a acquit tellement d'expérience dans le domaine de la nature et passe la plupart de son temps à réfléchir (en effet, il est toujours dans les nuages), qu'il peut sentir le danger avant que celui-ci n'arrive: il ne se fie qu'uniquement à son instinct et à ceux en qui il leur porte une totale confiance. Il est très simple de savoir aussi si Kusari vous apprécie où s'il ne peut pas vous "sentir" (son expression favorite) : c'est soit totalement l'un, soit totalement l'autre, qui en général est plutôt mauvais signe, pour vous. Il a peut-être une attitude distante et méfiante à première vue, mais quand il s'agit de vous prouver son affection, il le fait sans retenue. C'est peut-être son tempérament à s'attacher trop aux gens qui va le perdre. Où que vous soyez, il est toujours là si vous avez des ennuis, quels qu'ils soient. Malgré cela, il exerce une vraie aura autoritaire, mais une autorité souvent presque "amicale". Il sait se faire entendre sans hausser le ton et ne s'énerve presque jamais. Il est doté d'un sens de la ruse assez concret, et il sait toujours comment s'y prendre pour ne pas payer la note du restaurant (quand il est à court d'argent). Il se dit surtout qu’une faut vivre la vie comme un cadeau, pas comme un droit acquis.

Kusari a des goûts très variés. Il aime bien participer à des compétitions comme les bagarres ou autres choses où la baston prime. Il est très rare de le voir absent à un tournoi. Il aime bien passer du bon temps dans un bar avec des amis en train de jouer aux cartes. On dit qu'il peut boire jusqu'à deux litres d'alcool de riz sans en devenir saoul, ce qui n'est qu'une rumeur bien qu'il tienne très bien l'alcool. Ses goûts culinaires se rapprochent de ceux d'un loup : il adore la viande bien saignante et déteste les légumes bien qu'il s'efforce d'en manger. À part cela, il déteste beaucoup de choses dont l'argent, la cupidité, la vanité et la lâcheté. Ce qu’il appelle un « lâche » est une personne qui recule devant des choix dures. Cela l'énerve au plus haut point.

Histoire :

Il est tôt le matin. Le soleil commence à pointer son nez, tentant sa chance sur le ciel d’encre, comme à chaque jour. Je n’ai rien à faire. Tout le monde dort et je n’ai surtout pas la tête à l’alcool. J’ai depuis un moment l’idée d’écrire une histoire, mes mémoires pour être plus précis. Le moment est propice.

Je ne suis pas un Shinigami comme les autres. Je l’ai remarqué dès mon entrée à l’Académie des Arts Spirituelles. Je vois des choses que les autres ne voyaient pas, et, surtout, je me souviens de chose que les autres n’ont pas même l’once d’un souvenir. J’ai pris ma première bouffé d’air sur l’île d’Okinawa, dans les années 1840, si je me souviens bien. Le reste est plutôt flou. Deux choses me sont cependant resté à l’esprit : ma mort, et ma passion, toutes deux intimement reliées.

J’étais fasciné par les éclairs, la pluie, les tempêtes, tornade et compagnies. Je vivais dans une région fréquemment fouettée par les éléments et, surtout, sur le bord de la mer. Contrairement aux autres, la foudre n’était pas un signe de danger pour moi. La lumière qui éclatait dans le ciel me faisait penser à celui qui me tend la main alors que je suis tombé ou encore à la lumière qui guide vers le calme. Le bruit me rassurait tout autant et je me disais que le danger que tout cela cache était le prix pour un tel spectacle. J’ai donc payé mon dû d’avoir assisté à tous ces orages vers l’âge de 12 ans. La foudre m’a frappé alors que je nageais près de chez moi. Je n’ai rien vu venir. Quelques minutes avant le ciel était pourtant clair et bleu. Un Shinigami m’a presque aussitôt envoyé vers la Soul society. J’ai été recueilli par une famille aisée dont plusieurs étaient des Shinigamis. Celui que j’appelais « Poisson » (en effet, sa tête me rappelait vaguement un poisson) est entré à l’Académie des Arts spirituelles trois ans après que l’on m’est adopté. J’ai donc grandi une seconde fois dans l’esprit de combattre des Hollows et d’être dans le Gotei 13. Toute ma famille avait un peu d’énergie spirituelle donc je n’ai jamais eu à m’inquiéter de devoir manger : tout ceux que je connaissais était comme moi. Je me suis inscrit à mon tour à l’école des Shinigamis. Je n’en avais pas particulièrement envi, mais ma mère mit poussait à grand renfort de menace : apparemment, elle savait que j’avais du potentiel. J’ai obtenu mon diplôme sans embuche, en même temps que Poisson. Ce dernier en fut fortement insulté. Il était entré deux ans plus tôt que moi et s’était autoproclamé mon rival. Il semblait prendre un malin plaisir à essayer de montrer qu’il était supérieur à moi. Mais, il ne faisait pas le poids face à moi. À l’épée, c’est geste étaient gras et lents. Au Kidou, il n’était pas le plus faible mais ne touchait pas au top dix. Je n’étais pas le meilleur non plus. J’étais dans la moyenne. J’ai appris le nom de mon Zanpakuto l’année où j’ai reçu mon diplôme. Otoraiu m’est apparu au milieu d’un vaste océan cerclé de montagne. Tout deux marchions sur l’eau. Mon Zanpakuto me regardait d’un air hautain, presqu’avec colère. Il m’a dit qu’il s’appelait Otoraiu puis s’est jetés sur moi, l’épée dégainée, sans plus de façon. Je bloquai l’attaque avec ma propre lame mais un coup de genou dans le bas ventre m’a envoyer valser dans les vagues. Sans que je ne sache comment, Otoraiu était debout, près de moi, sous l’eau. Je n’y avais pas prêté attention, mais l’eau était respirable comme de l’air. Encore une fois, mon Zanpakuto me regardait mais, cette fois, c’était comme s’il me détaillait, chose que je fis à mon tour : il était grand, large d’épaule et visiblement robuste. Des cheveux noirs d’ébène cerclait son visage et se terminait pas une unique couette soutenu par un ruban rouge. Une demi-armure le protégeait sur le côté droit principalement et servait aussi à retenir une cape noire où des camélias blancs étaient peints. La cape pendait vers le bas et servait visiblement de manteau lors des jours froids. Un large pantalon de toile bleu marin retenu par une ceinture de corde épaisse disparaissait en parti sous la partie basse de l’armure qui protégeait l’aime et les cuisses. Des jambières de fer cerclés or protégeait ses tibias et montait jusqu’au genou. Otoraiu portait aussi des sandales avec des tabi à l’intérieur afin de le garder au chaud. Je fus interrompu dans ma « contemplation » lorsque mon Zanpakuto me lança son épée recourbé. Sans rien ajouter, il disparu. Je me retrouvai dans la pièce de la maison familiale où je m’étais enfermé pour parler avec Otoraiu. Je me levai, incertain. Ma tête tournait et mes membres tremblaient, un peu comme lorsque j’abusais de l’alcool. Toutefois, j’avais toute ma tête. J’eue un léger sourire en coin. Malgré mon état, j’étais vraiment devenu un Shinigami avec un bon Zanpakuto.

J’intégrai la cinquième division. Dès le départ, je fus septième siège m’en j’en étais plutôt frustré. Je visais le poste de cinquième siège, et, surtout, je ne voulais pas être dans cette division. J’avais l’habitude de pouvoir lire dans les personnes qui m’entouraient et, surtout, de pouvoir prévoir au minimum ses actes. Toutefois, mon capitaine, Aizen Sosouke, je n’arrivais pas à le cerner. Par moment, il me semblait tout à fait aimable, le genre de type avec qui j’irais boire un peu, et, l’instant d’après, me faisait penser à un prédateur qui se couche dans l’herbe n’attendant que le bond moment pour fondre sur sa cible. Même encore, il m’arrive d’avoir se sentiment, que je ne peux pas le sentir. Toutefois, je trouve que j’exagère. Ce n’est que des fabulations et des craintes de gamin, que je me dis. Malgré tout, je m’y fis bien vite et je passe du septième siège au cinquième très rapidement. Le capitaine avait visiblement confiance en moi. Il me confiait souvent des missions de niveau lieutenant, ce qui eu pour effet de me faire progresser rapidement. Je m’étais lié d’amitié avec le quatrième siège et c’est avec lui que j’accomplissais les missions où nous devions exterminer des Hollows. Justement, je vais longtemps me souvenir d’une confrontation avec deux Menos Grande. Mon ami s’élança le premier mais fut vite repousser. Les deux Hollows préparèrent un Cero qu’ils jetèrent sans plus de façon sur nous deux. Pointant mon sabre devant moi, je dis, calmement :

« Fais face, Otoraiu! »

Un rayon parti de la pointe de mon Zanpakuto pour se briser contre le Cero, me protégeant. Toutefois, mon ami n’eut pas cette chance. Le rayon d’énergie le désintégra instantanément. Froidement, j’abatis les Menos à l’aide de la même attaque qui m’avait débarrassé du Cero. En soupirant, je mis mon Katana dans son fourreau. Je ne peux tout simplement pas en vouloir aux Hollows. Ils font se que leur dicte l’instinct, comme le font les Shinigamis en tuant les Hollows.

Les années passèrent… Entretemps, le troisième siège se fit tuer et je pris sa place. C’était tranquille depuis un moment et j’avais eu amplement le temps de réaliser mon objectif : Maîtriser le Bankai. Avec ce nouveau pouvoir acquis, je pouvais me permettre de viser haut, rien de mieux que le poste de capitaine de division. Dès que le poste de capitaine de la neuvième division se libéra, je sautai sur l’occasion. C’est devant trois capitaines que je passai l’examen, qui s’avéra beaucoup moins difficile que je ne le pensais. Puisque j’avais bonne réputation personne ne s’opposa à ma nomination et je devins enfin capitaine.

Félicitation belle présentation tu est accepté,comme il manque des capitaines soit tu en devient un ou,tu choisi une division de ton choix,comme tu peut le voir le forum est vide bien dommage,mais si on recrute tous pour le faire vivre sa serait cool sur ce bonne continuations ^_^

Ps : je tes mis Capitaine de la 9 éme division !